Les français seraient-ils majoritairement atteints d’anosognosie ? Du grec nosos (maladie) et de gnosie (connaissance), l’anosognosie est un terme médical qui signifie que l’on n’est pas conscient de sa condition.
Entrainant des psychoses (perte de contact avec la réalité pouvant entrainer délires, troubles du comportement et violences), différents sites ajoutent que les patients surévaluent leurs capacités, manifestant une forme de deni de la réalité, une démence, qui atteint surtout des personnes qui ont été traumatisées, ou qui ont pris un coup sur la tête. L'anosognosie révèle des formes de dégénérescence cérébrale.
Babinski, neurologue de la Salpétrière, qui a découvert la maladie il y a plus d’un siècle, avait noté que cela concernait surtout l’hémisphère gauche, suite à une lésion de l’hémisphère droit
Vous me suivez ? La France vit avec un système social performant, créé après la guerre, à une époque où trois actifs pouvaient cotiser pour un retraité…Malheureusement, le vieillissement de la population issu du baby boom ramène les compteurs à un pour un, avec des hypothèses d’aggravation de ce déséquilibre, lié à l’intelligence artificielle destructrice d’emplois peu qualifiés, qui certes peut générer des emplois nouveaux, mais à condition que les citoyens aient un excellent niveau de qualification. De plus, les français élevés dans un bain gauchisant de l’école à la fonction publique, ont une vraie difficulté avec le libéralisme de droite.
Ces pauvres français ont pris un coup sur la tête avec le Docteur Macron, qui n’a pas été très psychologue, je le reconnais, pour leur expliquer son diagnostic, du coup, les aidants sont débordés par des patients qui refusent les soins, et donc, on observe toutes sortes de signes d'ordre pathologique : violence collective, destruction de biens publics, hystérie généralisée dans les médias, incapacité cognitive pour appréhender les handicaps générés par la maladie (déséquilibre s’aggravant de jour en jour de notre système social).
Que faire ? Evaluer, puis tenter de soigner les malades, mais généralement, les traitements sont longs et incertains…