Klimt, Schiele, Kokoscka, Moser pour la réouverture du Grand Palais à partir du 5 octobre. Ouah ! Ils ont fait forts.
On n’est pas dans la peinture soft, mais dans une peinture un peu scandaleuse, qui a souvent fait recette grace à un public avide d’un certain voyeurisme.
Pour Klimt passe encore, malgré le grand érotisme de certains de ces dessins, mais pour Schiele, (ce peintre qui draguait les très jeunes filles pauvres de préférence pour en faire ses modèles) l’attirance pour la représentation du sexe et de la déchéance est quasi obsessionnelle. Et à la fin de sa vie, cela est encore plus noir, même si le trait est plus soigné et le fétichisme moins présent.
Il faut dire que la mort rode autour de tous ces artistes à commencer par Klimt.
Bref, de quoi nous redonner un super moral pour l’hiver.
En tous cas, un grand événement !