Tous les soirs de la semaine sur Radio Classique, Olivier Bellamy propose, dans Passion Classique, à ses invités de commenter les chansons ou musiques qui ont marqué leur enfance. J’ai décidé de vous faire partager aussi mes petites madeleines musicales et d'évoquer quelques souvenirs.
Chez moi, on n'écoutait pas de classique. Je découvrirais la musique classique au collége, dans les cours de musique que j'ai adorés et dont j'ai gardé un magnifique souvenir. Je dois à ce professeur de musique mes premières rencontres avec Beethoven, Moussorgsky et Berlioz. J'ai choisi des madeleines qui ne sont pas des classiques, plus en rapport avec mon enfance.
Ma première madeleine remonte à 1955 ou 1956, je ne suis pas sûr de l’année. C’était la première fois de ma vie que j’assistais à un concert et c’était à la Mairie de Montreuil, pour la fête des mères. La ville avait invité un jeune homme qui démarrait très fort « Gilbert Bécaud ». J’étais avec ma mère, bien sûr, et je me souviens des rappels pour « Mes mains », l’un de ses premiers succès. Je garde un souvenir très fort de toutes ces jeunes mamans, qui, un après midi, étaient venues s’encanailler (68 n’était pas encore là) en écoutant celui qui a fait ensuite la brillante carrière qu’on connait.
Ma première madeleine remonte à 1955 ou 1956, je ne suis pas sûr de l’année. C’était la première fois de ma vie que j’assistais à un concert et c’était à la Mairie de Montreuil, pour la fête des mères. La ville avait invité un jeune homme qui démarrait très fort « Gilbert Bécaud ». J’étais avec ma mère, bien sûr, et je me souviens des rappels pour « Mes mains », l’un de ses premiers succès. Je garde un souvenir très fort de toutes ces jeunes mamans, qui, un après midi, étaient venues s’encanailler (68 n’était pas encore là) en écoutant celui qui a fait ensuite la brillante carrière qu’on connait.
Cliquer pour écouter Mes mains par Gilbert Becaud (Olympia 1955)