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Houellebecq ferait-il bouger les suisses ?

Dans le dernier roman de l’auteur, devenu Goncourt, donnant par là même au livre une audience plus grande, Houellebecq fait mourir son père en Suisse par suicide assisté, opération tout à fait légale chez nos voisins…sauf que les choses, décrites par l’écrivain, ne  paraissent pas toujours bien encadrées .

Deux organisations pratiquent cette ultime opération à Zurich, Dignitas et Exit.

Or, comme par hasard (à moins que ce ne soit que coincidence) ça bouge au pays des horloges et du bon lait pour les gentils petits nenfants blonds…car, la Suisse est aussi un pays de bon chrétien (on peut être licencié là bas si on est prof et que l’on refuse de pendre un crucifix dans une salle de classe, eh oui..)….et cette semaine, on sent que ca remue ici ou là, pour mieux encadrer cette pratique de mort assistée…étonnant, non ?

Commentaires

  • HOUELLEBECQ, ROI DES "CONCIERGES EN REVOLUTION"

    Avec sa tête de pauvre type Houellebecq écrit des livres de pauvres types.

    Auteur d'une littérature minable écrite pour des minables qui l'adulent, cette face d'avorton a la plume rase, le verbe bas, la pensée vile.

    Houellebecq est le chantre des ratés. D'où son formidable succès.

    Dans ses livres il a placé sans complexe le Dupont sur un trône -celui de l'insignifiance mais peu importe, un trône est un trône à ses yeux- revendiquant le droit de faire régner la loi du commun -pour ne pas dire du rien du tout- sur les étagères les plus prisées des bibliothèques. Au nom de son air d'abruti.

    Chez Houellebecq les petits présentés comme des victimes de leur petitesse gagnent toujours du début à la fin : avec lui c'est la revanche des eaux troubles de la sexualité sur l'onde pure de l'esprit, le triomphe de la fosse des sentiments sur la verdure des sommets, la gloire du quotidien inepte sur l'intemporel vol de l'âme, la victoire des êtres médiocres et de leur oeuvres crasseuses sur les neiges éternelles de l'Art.

    L'époque étant comme on le sait à la totale dégénérescence littéraire, Houellebecq est le plus fameux de ses représentants.

    De ce déchet de notre civilisation en pleine dérive culturelle, on a fait une légende vivante.

    Roi des Dupont auxquels il s'adresse, Houellebecq est un produit marketing performant, inusable, réutilisable à chaque rentrée littéraire ! Il suffit juste de changer l'emballage de ses bouquins chaque année. Bref, la gloire des éditeurs. Pardon, des vendeurs de papiers.

    Houellebecq est un phénomène : chacune de ses apparitions télévisées est un événement.

    Dès que passe sur les écrans plats de la France attablée sa tête molle de vieux puceau frustré et libidineux, il fait chavirer le coeur des ménagères monoparentales ménopausées, miroiter des jours encore plus tièdes aux concupiscents concierges constipés, espérer un sirop de bonheur pseudo littéraire toujours plus vil et fade aux minus malades, comme lui, de leur existence de nabot.
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    Complément à l'article
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    Pour rappel, voici ,un extrait de l'interview par Vignale (texte numéro 509) au sujet de la littérature :

    Vignale - Quels sont les auteurs contemporains qui ont vos faveurs littéraires ? Houellebecq vous touche-t-il davantage qu’un Beigbeder, un Zeller ou un Moix ou bien vous ne lisez que les morts ?

    Raphaël Zacharie de IZARRA - Je suis fièrement inculte. Vierge de bien des influences mais non point sans avis. Je connais les titres et les têtes des écrivains actuels, mais guère plus. Rares sont ceux qui ont su me plaire avec leurs mots. Je possède une intuition étrange : je sais reconnaître un auteur de valeur sans ouvrir un seul de ses livres, juste en lisant sur ses traits. Car la Littérature transparaît sans fard sur la face des auteurs dignes de ce nom. Sur leur front, moi je la vois dans sa vérité. La Littérature ne m’échappe pas.

    J’ai l’oeil pour ces choses. Et lorsque je vérifie les écrits de l’auteur ainsi sondé, je constate que je ne me trompe jamais. Celui qui parle en auteur mais qui n’a pas l’éclat de la Littérature entre les deux yeux, je le sais avant même de lire sa première page.

    J’estime sans l’avoir lu que Houellebecq, s’il possède effectivement quelque plume (pour avoir survolé de très loin une ou deux de ses pages, je n’ignore pas de quoi je parle) manque singulièrement de hauteur ne serait-ce que parce qu’il a commis l’impudeur de montrer sa face aux caméras de télévision. Trivialité impardonnable pour un auteur digne de ce nom.

    http://izarralune.blogspot.com/2007/05/509-vignale-me-pose-dix-questions.html

    Raphaël Zacharie de IZARRA

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