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  • The Velvet Underground à la Philharmonie de Paris

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    Il y a quelque chose d'émouvant dans cette exposition visible jusqu'à aout, où la plupart des acteurs du Velvet sont décédés d'abus en tous genres...émouvant, également cette musique un peu bricolée, mais oh combien prometteuse et annonciatrice des Bowie, Bob Dylan et au fond, de toute la musique qui a changée le monde dans les années 70.

    Emouvant aussi ces vieilles photos noir et blanc du Village à New York au début des années 60, avec John Cale, Lou Reed, puis Andy Warhol, le père du Velvet, où se croisent tant de personnalités, encore inconnues de la plupart de nous tous, comme Woody Allen, Louise Bourgeois, Mapplethorpe et Patti Smith, Merce Cunningham le danseur, Brian Jones, etc...  et puis, cette manière de faire du multimédia avec un rétro projecteur, oui un rétro projecteur, ou un projecteur de diapo ou de film 8 mm où l'image est balancée sur la scène...

    Dommage, c'est un peu court et il manque à mon avis, une reconstitution studio, un espace un peu sound and light justement, comme on avait dans d'autres expos de ce style...l'expo Bowie était plus complète ce de côté là, mais bon, il y avait aussi plus de choses à montrer...

    Heroin par Lou Reed

     

     Nico (la Dolce Vita de Fellini) qui eut une enfant avec Alain Delon, dans Femme Fatale

    After Hours par Maureen Tucker, batteur un moment du groupe, qui jouait debout.

    Photo du haut: la Philharmonie de Paris par l'auteur