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Choisir entre la pauvreté et les cataclysmes.

Pour l’instant, tout va bien….on se déplace, on fait à peu près ce qu’on veut, certes, on est de plus en plus pauvre….mais cela pourrait être pire encore, comme dirait Claude Allègre, qui ne veux pas que l'écologie contribue à accentuer la crise et fasse encore plus souffrir les plus démunis,  en conduisant à la décroissance économique et à la mise en pièces de l'économie de marché.

De l’autre côté, on trouve par exemple, l’économiste anglais Nicolas Stern, qui stigmatise fortement les gens comme Allégre, qui introduisent de la confusion et font douter les politiques et les peuples de s’engager fortement dans une politique de mesures radicales, craignant que sans accord, les températures de la planète se réchauffent de 5 ° d’ici la fin du siècle, rendant la vie impossible sur terre.

Quand aux demi-mesures, cela reste des demi-mesures, rien ne prouve par exemple que la voiture électrique soit bien moins polluante que les voitures à essence (il faut recharger les batteries avec leur saloperie de lithium). D’autre part, couvrir nos mers de forêts d’éoliennes ne devrait pas être sans conséquences pour la faune marine…

Tout cela est trop déprimant… demain, je ferai un blog sur une connerie quelconque….

 

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