Le film relate une semaine de la vie de l’actrice américaine, décédée quatre ans plus tard la période couverte par ce long métrage d’une heure quarante.
A cette époque, Marylin est au sommet de sa gloire et rayonne sur Hollywood…le problème, avec ce film, c’est que l’actrice n’est pas Marylin…elle n’est pas laide, comme l’a dit un journaliste, mais elle n’a pas beaucoup de charme…du coup, Marylin ne nous séduit pas, au contraire, elle est une espèce de cruche mal dans sa peau, qui a tout de la tête à claque : elle n’arrive pas à se souvenir d’un tout petit bout de texte, elle multiplie les caprices, utilise les hommes comme des mouchoirs jetables, ne tient debout que grâce à l’emploi d’une multitude de médicaments, drogue et alcool…alors, bon, le réalisateur tente quand même de comprendre le désarroi de l’artiste, troublée dans son jeu par la méthode traditionnelle utilisée par le réalisateur (Marylin était partisane de l’Actor’s Studio), assimilée à une seule valeur commerciale, coupée du monde, dont on attend trop…on reste quand même un peu sur sa faim….dommâge…
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Une semaine avec Marylin