En écoutant une chronique sur nos comportements face à l’image ce matin à la radio, je me suis dit que je ne me sentais décidemment pas latin. La chroniqueuse rapportait une étude tentant d’expliquer notre rapport aux puissants, ce qui pourrait expliquer que beaucoup soient choqués de voir un futur candidat aux présidentielles menotté, because notre culture a tendance à idéaliser les dites élites…
En travaillant depuis plusieurs semaines sur un tableau imaginé de toutes pièces à l’acrylique, je me suis aperçu que j’étais très marqué par des peintres plutôt du nord, comme le flamand James Ensor, qui peignait les êtres comme des bouffons, le norvégien Munch et son travail sur la folie et la détresse (on peut aussi y voir de la simulation), ou l’expressionniste autrichien Kokoschka…
J’ai donc imaginé en trois tableaux de ces maîtres ma vision de l’affaire DSK…