Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Père Noel est-il un bonnet rouge ou un leader bolchevique ?

 

Va-t-on plonger dans l’affrontement avant Noel ? On peut se poser la question…du côté des Bretons et autres bonnets de toutes les couleurs, on se prépare à de nouvelles actions…du côté du Front de Gauche, on se prépare également à une marche sur Bercy le 1er décembre…sauf  que si tous ces contestataires manifestent contre la fiscalité, leurs objectifs sont loin d’être les mêmes…pas grand-chose à voir entre des petits patrons, des artisans, des auto entrepreneurs qui défendent l’économie de marché qui ne fonctionne plus, selon eux, l’Etat ayant de plus en plus la main mise sur leurs marges et leurs possibilités d’équilibrer les comptes et Mélenchon, qui lui, cherche à imposer une économie basée sur la demande, c'est-à-dire l’opposé de l’économie libérale, une économie où l’Etat régule tout, avec une planification écologique qui rappelle les beaux jours du système soviétique, où on nationalise à tout va, où les investissements sont orientés par une bureaucratie qui décide de ce qui est bon ou pas pour le pays et où on ferme les frontières financières…il suffit de lire » l’Humain d’abord », le petit livre rouge de celui qui se rêve en révolutionnaire sud américain pour se faire  uns opinion…bref…si une majorité de français refuse les taxes, ce n’est pas au  même Père Noël que tout le monde croit, ce dernier pouvant être aussi bien le symbole du libéralisme, étant issu d’une pub pour Coca Cola, que celui des Rouges aux grosses bottes noires qui distribuent aux enfants pauvres la recette confisquée aux gros capitalistes (et aux français moyens), que l'Etat a fini par étouffer sous les charges …Logiquement, ça devrait clasher, où j'y perds mon latin…quant à Hollande, l'homme de la synthèse impossible, sa force de conviction pour faire un choix clair, me fait penser à Pierre, dans le Père Noel est une ordure ;

- Je suis désolé Thérèse, je ne sais pas ce qui m’a pris... C’est une catastrophe.
- Ce n’est rien Pierre, je n’ai rien senti...

Pas sûr qu'on ne sente rien...

 

Les commentaires sont fermés.