Les moins de 40 ans, d'un bon niveau d'études en général, poussent vers la flexibité, l'autonomie pour exercer un métier, quitte à faire des tâches qui pouvaient relever ou relevent encore d'autres fonctions.
Exemple: afin de réaliser des économies sur les frais d'agence de voyage et de rendre les salariés moins dépendant, des outils sont mis en place pour réserver directement sur le monde entier toutes sortes de billets et de prestations de déplacement, le salarié réalisant les transactions lui même sans recourrir à une tierce personne.
Même chose pour les achats courants de petit matériel, de prestations récurrentes ou de fournitures, l'acheteur effectuant seulement les travaux de regroupement et de validation.
On pourrait trouver plein d'autres exemples.
Du côté des +50 ans, ça rouspéte, ça veut partir en retraite (avec bonne retraite) au plus vite, ça ne veut pas faire le métier des autres car en grande entreprise, ça sait que ça n'aura pas à chercher d'autres emplois et ça ne veut pas s'emm...alors ça argumente sur la perte de qualification liée au temps passé à faire des tâches annexes, sur les emplois supprimés, sur le fait que chacun n'a qu'à faire son boulot, etc....
Et pourtant qui oserait dire aujourd'hui que les traitements de texte comme Word ont été des retour en arrière, du fait de ne plus avoir besoin d' une secrétaire pour faire un courrier ?
Et puis quand cessera t'on de dire dès 50 ans à peine fété, qu'on va partir en retraite et qu'on veut être tranquille.
Surtout que les salariés des grandes entreprises qui sont en poste depuis souvent longtemps ne sont pas les plus à plaindre !